Publication de l'association des habitants du quartier de la Pironnière -Photo de Raymond Grelet - Logo : création de Christopher JAULIN


COMMUNUNIQUE DE PRESSE DE L'ASSOCIATION


ANTENNES COLLECTIVES DE TELEDISTRIBUTION


Conseil municipal du 3 novembre 2009


L’association des habitants du quartier de la Pironnière se réjouit de la décision prise par le conseil municipal consistant à ne pas réclamer la redevance en 2010. Le maire a enfin admis que de nombreuses réclamations parviennent en mairie, sur des mauvaises conditions de réception et reconnu que les utilisateurs payant une redevance devraient recevoir un service de qualité.


L’exposé fait par le Maire sur les caractéristiques de ce service n’a pas convaincu les dirigeants de l’association sur les points suivants :


  • Sur le recouvrement de la redevance réclamée aux propriétaires raccordés : le maire a dit que ce recouvrement avait été convenu mais il n’a pas précisé avec qui ? L’enquête entreprise par l’association montre que à sa connaissance, aucun des propriétaires n’a donné son consentement à l’institution de cette redevance. En outre, il apparaît que des propriétaires qui ne sont plus raccordés reçoivent néanmoins l’avis à payer cette redevance.

  • L’analyse du cadre juridique de cette « redevance » instituée au Château d’Olonne est dépourvue de base légale, à défaut de consentement donné individuellement par les propriétaires. S’agissant d’une redevance sensée couvrir la rémunération d’un service rendu, la moindre des choses eut été de l’ordonnancer sous le couvert d’un contrat d’abonnement. Or les redevables sont désignés unilatéralement par la commune sans contrat d’abonnement. La circonstance que les avis à payer soient émis par le comptable du Trésor n’est pas de nature à pallier le défaut de base légale.

  • La situation des habitants qui, las du mauvais fonctionnement des installations collectives, ont opté pour la réception par parabole, n’a même pas été évoquée.

Aussi l’association souhaite l’ouverture rapide d’un dialogue avec l’autorité municipale afin d’éviter la multiplication des instances judiciaires

Jeux de cartes

L'association reprend les rencontres autour des jeux de cartes
les lundi après midi (Belote, tarot... à chacun de choisir) à partir de 14 h au bar l'Acacia.

communiqué de presse

ANTENNES COLLECTIVES DE TELEDISTRIBUTION

dans des lotissements . au Château d’Olonne



850 propriétaires seraient actuellement raccordés à ces antennes. A l’origine (1977 ?) ces antennes ont été imposées aux lotisseurs par la municipalité pour éviter la multiplication des « râteaux » sur les toits, jugés à l’époque inesthétiques.


Elles étaient gérées par chacune des association syndicales constituées des propriétaires de chacun des lotissements. Devant les difficultés de fonctionnement de ces entités, le Conseil Municipal a décidé, par délibérations du 28 juillet 1992 et 29 mars 1994, de prendre en charge la gestion de ces antennes


La commune a décidé aussi du recouvrement des frais auprès de chacun des propriétaires d’une habitation.

En 1999, suite à une réunion publique, le mécontentement persistant, le Conseil Municipal a approuvé un programme de réhabilitation de l’ensemble des antennes collectives. Le coût des travaux avait été réparti sur six années.


En 2008, des travaux d’adaptation à la TNT ont été exécutés, et amortis sur deux années.


Depuis 2006, le Conseil Municipal a décidé que le montant de la redevance est révisé chaque année en fonction des dépenses réelles de l’année précédente, divisées par le nombre de maisons raccordées.


En 2009, le montant de la redevance versée par chaque propriétaire raccordé à une antenne collective de télédistribution, avait été fixé à 31.53 €uros.


Le montant des travaux répartis s’établit ainsi à: 26.802,89 € dont l’amortissement des travaux d’adaptation à la TNT de 10.175.95(dernière année) et des Frais de gestion de 10 % soit 2.436,63


Au stade actuel de son enquête, l’association des habitants du quartier de la Pironnière recherche à connaître

· les modalités de consultation annuelle des propriétaires avant l’engagement des travaux et la fixation de la redevance, comme c’est la règle dans les associations syndicales de propriétaires auxquelles s’est substituée la commune ;

· Les motifs qui s’opposent à la conclusion d’un contrat d’abonnement avec chacun des propriétaires, fixant notamment les modalités de retrait.


Devant les difficultés persistantes de réception de la télévision depuis plus de 15 ans, dans les lotissements équipés d’antenne collective sur la commune de Château d’Olonne, l’association « La Pironnière en toute liberté » rappelle que le droit à l’antenne est garanti par l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, l’article 10 de la Convention Européenne des droits de l’homme et enfin l’article 2 de la Directive "Télévision sans frontière" qui proclame la liberté de réception audiovisuelle, issue du droit à l’information.


Les conclusions de cette enquête seront, le moment venu, publiées et transmis aux pouvoirs publics concernés.

Redevance antennes collectives de télévision

Mercredi 21 octobre, à 18 h , salle mairie annexe rue de l’Eglise au centre ville de Château-d'Olonne.

L’association des habitants du quartier de la Pironnière a rencontré, pour la défense des citoyens, celles et ceux à qui la commune réclame, sous couvert du service du Trésor public, la redevance « antenne collective » sans qu’ils aient demandé ce raccordement ou n’ont pas l’utilité d'une antenne collective défectueuse.
Un questionnaire reproduit ci dessous a été diffusé pour nous permettre de donner notre avis sur la conduite à tenir et le formalités éventuelles à accomplir avant le 31 décembre 2009. A l'issu de la réunion un communiqué de presse a été diffusé (voir ci dessus)

clic sur l'image pour l'agrandir

Imprimer le questionnaire, répondre aux questions puis renvoyez -le au siège de l'association par courrier postal ou par mel

La fête des vendanges du 3 octobre 2009



Ce diaporama est sonorisé avec la musique du duo DOM et DEMESURE que nous avons eu le plaisir d'accueillir à cette fête. C'est une formation acoustique qui s'ouvre à toutes les formes musicales pour les transcender en créations vives, sublimes et originales. Une soif de bohème et de simplicité pour Dominique et Virginie, des "buveurs d'incertitudes" qui magnifient les choses de la vie dans un univers poétique tantôt éthéré, tantôt onirique.

" - En 2004, le groupe Dom et Démesure est lauréat de la 1ère édition du festival "Chansons de café" à Pornic. - Participation au festival "chant-appart" 2006 et 2007.

- Dom & Démesure a reçu le prix de l'UNAC (auteur-compositeur) lors du festival des "Scènes d'automne 2007" à Cambrai. -

Pour écouter un extrait de leur répertoire, allez sur leur site

http://www.myspace.com/dometdmesure

rien que du bonheur. Ils préparent l'édition d'un nouvel album et nous préviendront dès qu'il sera disponible.

Distributeur de billets de banque : nos démarches avancent-Clic sur l'image pour l'agrandir

Depuis plus d'un an, nous sollicitons toutes les banques installées sur la commune du Château pour l'implantation d'un distributeur de billets de banques à la Pironnière. Devant le refus écrit de certaines banques ou le défaut de réponse des autres, nous avons saisi Le Député-Maire des Sables d'Olonne et mis en circulation une pétition.
La Société Générale que nous avons directement contactée est venue nous rencontrer et visiter notre quartier le 18 juin dernier.
Après analyse des diverses contraintes techniques de faisabilité, la direction nationale de la Société Générale nous a adressé son accord pour cette implantation, selon le projet illustré sur l'image ci dessus (clic sur l'image pour l'agrandir)
Cependant, la réalisation de ce projet d' implantation d'une surface de 5 m2 sur la voie publique ( place de la République) nécessite le concours de la commune du Château d'Olonne.

Nous avons communiqué à la mairie dès le 25 juin 2009 toutes les pièces du dossier reçues de la Société Générale. Nous ne doutons pas de la volonté municipale encore récemment affirmée auprès du député, de pallier ce manque de service à la Pironnière .
 

Nous avons reçu de la mairie un courrier daté du 26 août 2009 nous informant d'une rencontre du maire avec le représentant de la Société Générale en charge du dossier le mercredi 16 septembre prochain, a laquelle le maire ne nous a pas invités. 

Nous espérons cependant, que les résultats de la discussion auront su pallier, dans l'intérêt général, ce manque de service à la Pironnière.
 

Cet élément nouveau viendra sans doute enrichir la liste des questions à examiner lors de la prochaine rencontre que la municipalité nous a proposée après notre assemblée générale à laquelle participaient Mrs FESSEAU et MAIRAND adjoints au maire.

Un centre de Traitement Mécano-Biologique à Château d’Olonne

 


Débat sur le projet de centre de Traitement Mécano-Biologique  à Château d’Olonne
Enquête publique relative à la création d’un centre de tri mécano-biologique sur le site du Taffeneau
Notre association a notamment pour but de concourir à la défense de l’environnement naturel du littoral , de se constituer en relais entre les habitants et les décideurs (Etat, Région, Département, Commune …)
L’association :informe et soutient par tous moyens légaux les habitants dans l’exercice de leurs droits publics ou privés. Conformément à nos statuts, voici un point de vue sur le centre de traitement des ordures ménagères prévu sur le territoire de notre commune.
Les objectifs de recyclage du Grenelle de l’environnement poussent les collectivités à mieux collecter et trier les ordures ménagères, les quantités de déchets partant en incinération ou en stockage devront diminuer sensiblement.
Ces améliorations passeront par l’amélioration des collectes sélectives déjà mises en place comme celles du papier, du métal ou encore des emballages. Pour récupérer dautres volumes de déchets encore présents dans les poubelles, certaines collectivités ont déjà choisi de créer de nouvelles collectes sélectives notamment pour les déchets organiques. Dautres cherchent à récupérer les déchets encore valorisables sur la fraction dordures ménagères résiduelles et se tournent pour cela vers les centres de traitement mécano-biologiques (TMB)
Le Traitement Mécano-Biologique (TMB) est un procédé de tri par criblage qui permet de séparer les déchets organiques des fractions non-organiques, mais sans pour autant éliminer suffisamment de particules fines et de polluants pour obtenir un bon compost.
Ce procédé a été étudié par le bureau d’études économiques BIPE, qui est une entreprise indépendante et privée d’études économiques et sectorielles, de prospective et de conseil en stratégie. Cette étude a été cofinancée par la FNADE-Fédération Nationale des Activités de la Dépollution et de l’ Environnement - et par l’ADEME -Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie- qui est un établissement public placé sous la tutelle des ministres chargés de la recherche, de l’écologie et de l’énergie
Cette étude présentée au congrès de la FNADE du 10 juin 2009 porte sur 65 sites de TMB existant en Allemagne, en Angleterre, en Belgique, en Catalogne et en France.
Dans le cas français, le rapport note que lencadrement réglementaire des unités existantes est incomplet et lexigence de qualité du compost produit est faible.
En outre, des organismes de certification sopposent à lutilisation de ce « compost » en agriculture biologique.
De son côté, l’ADEM a décidé de ne plus accorder de subventions aux nouveaux projets dinstallations de TMB . En supprimant les aides jusque-la accordées aux collectivités (communes, communautés de communes….) qui souhaitaient sen doter, lADEME a ainsi pris parti pour ne plus susciter un engouement excessif pour cette filière ».
Cependant, dans un entretien accordé à « Environnement magazine » révélé dans le journal Ouest France du samedi 1° août 2009, un responsable régional de l’ADEME des Pays de Loire précise « En ce qui concerne la Vendée les TMB produiront un compost réglementaire et, du fait que des agriculteurs locaux se sont engagés à l’accepter, on peut dire que le débouché local est assuré. » Il a ajouté que  l’ADEME demande « seulement » un compost « qui respecte la réglementation …….« Si des agriculteurs locaux l’acceptent dans leurs champs, nous n’avons rien à dire. »
Autrement dit, la légitimité des installations de TMB reposerait en Vendée sur les «  engagements «  des agriculteurs locaux à accepter l’épandage sur les terres exploitées du composte produit par le TNB.
Il faut noter la prudence avec laquelle l’ADEME présente cet argument
« Si des agriculteurs locaux l’acceptent (le composte) dans leurs champs, nous n’avons rien à dire. » Il y a en effet des raisons de se méfier de la porté de « l’engagement » des agriculteurs :
Cet engagement résulterait de la Convention Cadre du 10 juillet 2009 signée par le Conseil Général ; la Chambre d’Agriculture & Trivalis . Cette convention précise  que des conseillers agricoles se chargent de trouver les agriculteurs repreneurs du compost en privilégiant la recherche d’exploitations à proximité de l’usine.
Aujourd’hui, cette convention ne garantit pas que des agriculteurs repreneurs de ce compost  existent ou s’engageront sur une longue durée. Cela tient en particulier au droit actuel du fermage qui ne précise pas le statut de l’épandage. Le rôle des propriétaires des terres agricoles louées aux fermiers exploitants n’est même pas évoqué dans la convention.
Le droit d’épandage s’est développé en Bretagne, secteur de production porcine, après la directive Européenne Nitrate. Désormais ce droit d’épandage peut être loué ou faire l’objet de troc, indépendamment de l’exploitation du foncier. Cependant, le service d’épandage étant attaché à la terre, sa valeur vient augmenter la productivité en valeur de la terre. Les acheteurs de terre enchérissent pour bénéficier du service d’épandage ou le louer aux éleveurs, conformément à la théorie classique de la rente bien connue des économistes :
Dans les zones globalement en déficit, les agriculteurs sont prêts à payer pour se procurer des fertilisants organiques auprès des éleveurs, alors que dans les zones globalement en excédent, les éleveurs ayant des excédents d’effluents louent la possibilité d’épandre aux agriculteurs ayant des capacités d’accueil.
En Bretagne, ce statut a évolué au fur et à mesure de l’extension des zones en excédent, qui recouvrent aujourd’hui la quasi-totalité du territoire. L’utilisation du fumier par les agriculteurs constitue un exemple révélateur. Il y a quelques années, le transport et l’épandage, ainsi que la fourniture de paille à l’éleveur, étaient à la charge de l’agriculteur qui cherchait à sécuriser son approvisionnement en fumier. Les éleveurs ont dû progressivement assurer le transport et l’épandage des amendements, puis payer la paille aux agriculteurs.
Un rapport rédigé pour la réunion du 28 mars 2009 du Conseil Stratégique de l’Agriculture et de l’Agro-industrie Durables (CSAAD), organisme placé auprès du Ministre de l’Agriculture et de la Pêche, révèle des orientations nationales contraires à celles de cette convention Vendéenne.
Comme chacun sait, dès lors que l’exploitant agricole a signé un bail, il est libre sur l’utilisation du fonds, notamment pour le choix des cultures sous réserve d’exploiter « en bon père de famille », sans compromettre l’utilisation future des terrains et sans possibilité de « changement de destination » du fonds. Si le propriétaire constate une dégradation du fonds à l’issue du bail, qui pourrait être liée par exemple à l’épandage de compost, il peut demander une expertise puis une indemnisation à la charge du fermier.
Alors que la convention de Vendée repose sur la vente du compost à des agriculteurs volontaires, les réflexions en cours dans les services ministériels prévoient plutôt de rémunérer les exploitants agricoles pour leur rôle de fournisseurs de services environnementaux   (l’épandage de compost même normé est un service environnemental):
de manière directe, comme dans le cas des mesures agro-environnementales ou de contrats avec des acheteurs locaux de services environnementaux lorsque ces services ont des bénéficiaires clairement identifiables et solvables (exemple TRIVALIS)
- de manière indirecte dans le cas du fermage, par l’intermédiaire d’un contrat avec le propriétaire foncier bénéficiaire du paiement dans le cadre de l’obligation de compensation.
Dans cette seconde situation, le contrat doit garantir sur une longue durée la fourniture du service environnemental (par exemple l’épandage du compost normé) et le partage de la rémunération qui en résulte entre le propriétaire et le fermier. L’établissement d’un tel contrat pourrait être favorisé par l’État.
Ces réflexions conduisent actuellement les services de l’Etat à étudier la mise en place d’une réglementation permettant de définir sur une longue durée les modalités de fourniture et de rémunération des services environnementaux, ainsi que l’articulation exploitant/propriétaire dans le cas du fermage. Ces projets semblent ignorés (sciemment ?) des trois partenaires de Vendée signataires de la convention du 10 juillet 2009
Ces réflexions illustrent ainsi la fragilité de la convention qui ne saurait légitimer la création immédiate d’un centre de tri mécano-biologique sur le site du Taffeneau au Château d’Olonne. Elles illustrent aussi la fragilité des déclarations publiques relatives aux coûts de fonctionnement du dispositif de TNB.
Par mesure de précaution, il conviendrait d’attendre la mise en place de tout le cadre juridique relatif au fonctionnement de ce type d’installation :
non seulement l’encadrement technique durable qui demeure aujourd’hui obscure,
mais aussi les garanties juridiques relatives à la pérennité du débouché par épandage.
Dans cette attente il convient d’engager sans retard toutes les mesures susceptibles de réduire le volume des déchets collectés.
Pascal GRACIA

Usine de traitement des ordures ménagères

Un reportage interessant diffusé vendredi 25 septembre par TF1 :
pour le visionner, cliquer sur le titre ci dessus

Affluence aux concours de pétanque

Il y avait affluence sur le terrain de boules de la Pironnière : 88 joueurs inscrits le 23 juillet et 108 le 13 août. De nombreux spectateurs étaient là pour soutenir les joueurs. Des élus de la municipalité, parmi lesquels Mrs Fesseau et Mairand adjoints au Maire, ont pu constater que l'utilité du terrain aménagé par la commune n'est plus à démontrer. Mais il faudra envisager une extension et des installations sanitaires pour pouvoir accueillir dignement la prochaine fois, tous les amateurs.

Samedi 20 juin 2009 à partir de 18h- place de la République: première fête de la musique à la Pironnière
buvette - grillades

A 22 h retraite aux flambeaux vers l'abbaye St Jean d'Orbestier
En partenariat avec nos amis des associations
l'Orbestier et Mezzo'reilles


Le conseil d'administration de l'association

Le Conseil d'Administration convoqué le 10 juin a désigné le bureau de l'association après l’Assemblée Générale de samedi 6 juin.
Sont élus ou réélus:


Président : Pascal GRACIA

Vice Président chargé de l’administration de l’association (Trésorerie et secrétariat) Jean-Paul POTIER

Vice Président chargé de la logistique : Roger TESSIER

Secrétaire : Janine GARNIER

Secrétaire adjointe : Marie-Claude ARNAUD

Trésorier Michel TERRIER

Alain DOURY est désigné pour assurer les liaisons avec les commerçants du quartier

Décisions de politique budgétaire au conseil municipal

Communiqué de presse du 27 mars 2009


Après la présentation des orientations budgétaires au conseil municipal du 24 février dernier pour les 5 années à venir et le budget de l'année 2009 voté le 24 mars 2009, le conseil d’administration réuni le jeudi 26 mars a déploré le désintérêt de la municipalité à l'égard des actions de l’association forte aujourd’hui de 200 adhérents:

  • notre demande de réalisation d'une maison de quartier à la Pironnière ne figure pas parmi les projets d'investissement des 5 prochaines années. Le maire estime que nous devrions utiliser les équipements du centre bourg par souci de mixité sociale ! Espérons que cet argument ne prépare pas la fermeture de l'école de la Pironnière, secteur très convoité par la promotion immobilière. Nous observons aussi que la commune a autorisé et subventionné la 3° tranche du domaine « les jardins du Château d’Olonne » plus connue sous l’appellation « village des Hollandais » que d’autres appellent encore le « bunker » en raison des mesures de sécurité qui isolent ce lotissement » de la population du quartier. Ce domaine subventionné par la commune n’est pas un exemple de mixité sociale ;
  • nos projets d'animation du quartier sont délaissés par la municipalité: nous avions demandé une subvention pour nous permettre de financer l'achat de matériel nécessaire à nos activités pour un montant total de 2000 €. Le budget prévisionnel déposé à l'appui de notre demande montre que nos besoins de subvention s' élèvent à 1000€ sachant que l'association apportait aussi 1000€.

Nous avons été abasourdis par la décision municipale de nous octroyer seulement cent euros (100€) pour le financement de ce dernier projet.

Pour que chacun puisse mesurer toute la dimension de la considération municipale à notre égard et d'une manière générale aux associations de quartier, nous avons publié sur ce site la liste des attributaires de subventions pour 2009, révélée lors du conseil municipal du 24 mars 2009.

Dans les statistiques nationales, la commune du Château d'Olonne se distingue par sa faible participation aux actions sociales et notamment les activités des associations:

  • en 2007, dernière année connue du public dans les statistiques nationales, notre commune a versé 42 € par habitant pour tous les organismes et associations (Centre Communal d'Action Sociale-maison de retraite-Ecoles-office de tourisme, associations sportives, culturelles etc)
  • la moyenne nationale des soutiens de cette nature (moyenne de la strate dans le jargon statistique) est dans les communes similaires deux fois plus importants: 92€ .

Château d'Olonne: Les subventions aux associations pour 2009


Clic sur l'image pour l'agrandir

Dans les statistiques nationales, la commune du Château d'Olonne se distingue par sa faible participation aux actions sociales et notamment les activités des associations:
  • en 2007, dernière année connue du public dans les statistiques nationales, notre commune a versé 42 € par habitant pour tous les organismes et associations (Centre Communal d'Action Sociale-maison de retraite-Ecoles-office de tourisme, associations sportives, culturelles etc)
  • la moyenne nationale des soutiens de cette nature (moyenne de la strate dans le jargon statistique) est dans les communes similaires deux fois plus importants: 92€ .










































Pour l'installation d'un distributeur de billets de banque à la Pironnière

Lettre ouverte adressée le 22 août à Monsieur Louis Guédon Député-Maire, et un extrait de sa réponse datée du 3 mars 2009(voir ci dessous)


Notre association s’est fixé pour objectif d’améliorer les conditions de vie des habitants du quartier. Celui-ci est situé au sud ouest de la commune, depuis l’axe routier très fréquenté avenue René Coty – avenue de Talmont, jusqu’au littoral.

Parmi les revendications exprimées par ces habitants figure celle de l’installation d’un distributeur de billets de banque aux abords de la place de la République.

Cette revendication nous paraît tout à fait légitime dans ce secteur qui compte plus de 4000 habitants en résidence principale, ainsi que 2500 résidences secondaires, 1600 emplacements de campings et un nouveau complexe hôtelier à proximité du Puits d’Enfer.

Nos habitants permanents ou temporaires méritent la même considération que les autres. Les banques leur facturent la carte bancaire au même prix.

Les distributeurs les plus proches sont concentrés vers le centre bourg, ce qui nécessite un déplacement impliquant la traversée de l’axe routier vers le nord, exercice de plus en plus difficile pour notre population vieillissante.
En outre, les commerces de proximité d’une grande utilité, situés place de la République, nécessitent la disponibilité de monnaie (Boulangerie, journaux, bar, , épicerie, coiffure…)

Les habitants du quartier sont obligés de se déplacer vers les grandes surfaces pour se procurer des billets de banques ! Ils sont ainsi délestés des commerces de proximité, et pour cette raison nous craignons leur disparition à termes.

Nous avons demandé par courrier adressé depuis le 12 juin 2008 aux sept banques installées sur le territoire de la commune du Château d’Olonne, de prendre en considération cette revendication des habitants.

A ce jour deux d’entre elles nous ont répondu négativement, sans motif. Nous n’avons reçu aucune réponse des cinq autres.

Vous paraissez aujourd’hui notre seul recours contre le vide juridique qui semble subsister en la matière : aucune disposition législative ou réglementaire n’oblige le réseau bancaire à assurer un service de proximité.

Cette situation contrarie les efforts déployés par tous pour réduire les déplacements, la pollution et la consommation de carburant de plus en plus coûteux.

Nous espérons que vous voudrez bien prendre notre légitime revendication en intervenant tant auprès du gouvernement que par une initiative législative.

Nous vous informons que nous publions cette démarche sur notre site internet et
vous prions d’agréer Monsieur le Député-Maire, l’expression de notre considération respectueuse.


Pascal GRACIA
Président de l’association

Réponse de Monsieur le Député Louis Guédon datée du 3 mars 2009:


"Je partage tout à fait vos préoccupations et les conséquences que peut avoir l'absence de distributeur bancaire.................
Aussi, j'avertis immédiatement Monsieur Jean-Yves BURNAUD, maire du Château d'Olonne afin qu'il prenne les mesures nécessaires auprès des établissements bancaires pour que votre demande reçoive une réponse favorable"

Affaire à suivre : cette réponse a le mérite de nous faire découvrir les pouvoirs du maire en la matière. Il est vrai que la commune est cliente de nombreux oraganismes bancaires pour le financement de ses besoins de trésorerie et des investissements. Espérons que désormais il ne tardera plus à agir en conséquence.
Espérons aussi que le maire n'invoquera pas l'argument de la mixité sociale pour détourner les habitants du quartier vers les supermarchés.

La banque et le citoyen

Communiqué de Presse du 02/03/2009: la banque et le citoyen


Notre association s’est fixé pour objectif d’améliorer les conditions de vie des habitants du quartier situé au sud ouest de la commune, depuis l’axe routier très fréquenté avenue René Coty – avenue de Talmont, jusqu’au littoral.

Parmi les revendications exprimées par ces habitants figure celle de l’installation d’un distributeur de billets de banque aux abords de la place de la République.

Cette revendication nous paraît tout à fait légitime dans ce secteur qui compte plus de 4000 habitants en résidence principale, ainsi que 2500 résidences secondaires, 1600 emplacements de campings et un complexe hôtelier à proximité du Puits d’Enfer.

Nos habitants permanents ou temporaires méritent la même considération que les autres. Les banques leur facturent la carte bancaire au même prix.

Les distributeurs les plus proches sont concentrés vers le centre bourg, ce qui nécessite un déplacement impliquant la traversée de l’axe routier vers le nord, exercice de plus en plus difficile pour notre population vieillissante.

En outre, les commerces de proximité d’une grande utilité, situés place de la République, nécessitent la disponibilité de monnaie (Boulangerie, journaux, bar,,épicerie, coiffure, laverie…)

Les habitants du quartier sont obligés de se déplacer vers les grandes surfaces pour se procurer des billets de banques !

Ils sont ainsi délestés des commerces de proximité, et pour cette raison nous craignons leur disparition à terme. Cette situation contrarie les efforts déployés par tous pour réduire les déplacements, la pollution et la consommation de carburant de plus en plus coûteux.Ce qui est contraire au Grenelle de l'environnement.

Nous avons vainement demandé par courrier adressé depuis le 12 juin 2008 aux banques installées sur le territoire de la commune du Château d’Olonne et au député de la circonscription, de prendre en considération cette revendication des habitants.

Aucune disposition législative ou réglementaire actuelle n’oblige le réseau bancaire à assurer un service de proximité. Cela est anormal au moment où le Président de la République impose aux contribuables de venir au secours des banques. Nous demandons l'établissement d'une règlementation équitable.

Pascal GRACIA Président de l’association

Barrage sur l’AUZANCE

Etonnés et Catastrophés ??

On nous dit, à coups de communiqués de presse, que les gisements d’eau sur le territoire proche du pays des olonnes nous permettraient d’éviter les rituelles mesures préfectorales de restrictions apportées pour l’utilisation de l’eau : ’interdiction d’arrosage, de douches sur les plages...Selon les mêmes sources, nous courons même le risque pur et simple de manque d’eau. Certains quartiers verraient déjà le débit de leur robinet baisser en « saison ».


Ce projet de barrage sur l’Auzance, est incompatible avec la directive européenne, directive "le Grenelle de l'environnement" visant à interdire les ruptures artificielles dans les cours d'eau.
Ce projet de barrage devrait être abandonné au profit d'une conduite d’eau collectée dans la Loire qui serait amenée en Vendée pour garantir l'approvisionnement et la satisfaction des besoins en eau potable.


Il est opportun de compléter les informations diffusées par les défenseurs du projet de barrage par quelques rappels de considérations naturelles : des tableaux informatifs, publiés par l'Agence de l'eau, établissement public de l'Etat- Ministère chargé de l'environnement, donnent un éclairage au fond du problème posé par certains groupes de pression qui tentent de préserver des intérêts particuliers au détriment de l'intérêt général.


Coïncidence: cette campagne de communication qui met en cause les institutions Européennes coïncide avec la campagne électorale pour le renouvellement du Parlement de l'Europe !

Soyons sereins. Cette affaire de projet de barrage abandonné ne remet pas en cause la qualité de vie des habitants du quartier de la Pironnière ni son avenir économique .

  • Sans barrage, l'approvisionnement en eau dans le Pays des Olonnes sera assuré par les prélèvements dans la Loire. Que nos adhérents, parmi lesquels les professionnels du tourisme, richesse économique de notre quartier que nous soutenons, ne se laissent pas emporter par la "sinistrose ." Celle-ci est savamment orchestrée par des initiateurs de "peurs contemporaines" sans lesquelles ils ne pourraient pas survivre. Et ce qui est lamentable est qu'elle s'ajoute aux angoisses nationales entretenues sur le thème de "la crise financière"

A vous d' apprécier :

La rivière n'est pas un tuyau (cliquer sur les images pour agrandir)

un barrage retenant l'eau

le même barrage après une période de secheresse

l'assemblée générale du 6 juin 2009

Procès verbal de l’assemblée générale ordinaire du 6 juin 2009

L’assemblée générale ordinaire de l’année 2009 convoquée le 18 mai 2009 par le président de l’association, conformément aux dispositions de l’article 11 des statuts, s’est tenue Samedi 6 juin 2009 à 18h salle de l’association le Roc Saint Jean - Promenade Edouard Herriot au Château d’Olonne .

Le registre d’émargement des participants tenu à l’entrée de la salle de réunion par Janine Garnier, recense 227 adhérents. Il comporte 64 émargements de membres présents et 32 pouvoirs soit au total 96 membres présents ou représentés.

Le président, assisté de Alain Doury membre du conseil d’administration, constate que le quorum du quart est dépassé. Il déclare que l’assemblée peut valablement délibérer, conformément aux dispositions de l’article 11 des statuts.

Le président salue la présence à cette assemblée de Mrs Fesseau et Mairand adjoints au maire ainsi que deux conseillers municipaux : Mrs Guyot et Rossignol.

Il expose les difficultés rencontrées pour disposer d’un local dans le quartier qui l’ont conduit à convoquer cette assemblée au Roc St Jean. En l’absence de Odile Martineau secrétaire qui s’est excusée, Alain Doury dresse un rapide bilan de l’activité de l’association au cours de l’année écoulé:
  • Il rappelle que : le 30 mai 2008 l’assemblée générale constitutive de l’association comptait 29 adhérents pour élire le Conseil d’administration composé de 10 membres A la fin de l’année 2008 l’association comptait 165 adhérents et aujourd’hui 6 juin 2009 nous en avons recensés 227.

  • Le Conseil d’administration s’est réuni 12 fois au cours de l’année écoulée soit en moyenne 1 fois par mois . ces réunions se sont tenues grâce à l’hospitalité du propriétaire du bar l’Acacia ;

  • Le conseil a édité 2 bulletins d’information , à raison de 3 000 exemplaires chacun, qui ont été distribués dans le quartier ;
  • il a transmis à la presse locale 8 communiqués;
  • Un site internet a été créé pour renforcer nos moyens de communication avec nos adhérents et l’opinion publique ;

  • L’association a envoyé pour la réalisation de son objet social 17 courriers sans compter : · les formalités obligatoires concernant les autorisations administratives pour vendre les boissons à l’occasion des animations organisées, · dévier la circulation à l’occasion de certaines de ces manifestations ou · organiser le vide grenier…

Il note cependant, que nos interventions se sont concentrées sur notre revendication majeure pour l’installation d’un distributeur de billets de banque . La pétition mise en circulation le 11 mai 2009 par l’intermédiaire des commerçants de la place de la République a recueilli à ce jour 529 signatures.


Ce résultat nous encourage à persévérer dans nos démarches pour faire aboutir ce projet qui répond à l’attente des nombreux habitants du quartier.

Le trésorier ayant démissionné de ses fonctions, Pascal Gracia présente la situation financière de l’association :

Situation financière de l'association la Pironnière en toute liberté au 31 mai 2009

année 2008

année 2009

cumul

cotisations des membres

1 840

1 475

3 315

autres produits (inscriptions aux animations et ventes bar-sandwichs)

1 652

1 722

3 374

dons

210

0

210

total des recettes

3 702

3 197

6 899

achats de marchandises

1 235

423

1 658

frais d'animations

633

199

832

frais postaux

7

25

32

Contrôle de Trésorerie

taxes et droits d'auteur

90

64

154

solde banque relevé CMO au 03/06/2009

1 436,46 €

assurances

30

77

107

3 chèques cotisations en cours d'encaissement

60,00 €

frais d'impression

109

118

227

1 chèque émis à débiter

65,00 €

achats de matériel

200

2 037

2 237

situation nette CMO

1 431,46 €

total des dépenses

2 304

2 943

5 247

caisse au 03/06/2009

220,98 €



solde

1 398

254

1 652

Banque+caisse

1 652,44 €



Le président rappelle les projets de l’association à réaliser d’ici la fin de l’année:

  • Organisation le 20 juin de la première fête de la musique au Château d’Olonne, depuis son lancement au niveau national en 1982 . Il précise les modalités de partenariat avec l’association d’Orbestier;

  • Deux concours de pétanque les 23 juillet et 13 août 2009-

  • La fête des vendanges le 3 octobre prochain.


Il souhaite que l’association développe son activité de relais avec les décideurs : en prévision de cette assemblée, des adhérents qui n’ont pu y assister ont exprimé des critiques sur le plan de circulation actuel et des inquiétudes en matière d’urbanisme à la Pironnière.

Au regard des relations avec la municipalité, le président note des avancées concrétisées par l’aménagement du terrain de pétanque et surtout une concertation entreprise à l’initiative de la mairie à propos de l’aménagement de la place de la République.


Il note cependant que le défaut de local associatif dans le quartier ne favorise pas les activités de rencontres entre les habitants. Il espère que la piste esquissée par la municipalité vers les locaux scolaires de la Pironnière sera prochainement déblayée. La proposition de local, situé à l’étage et équipé de mobilier pour enfant, sans possibilité de le remplacer, n’était pas adaptée aux besoins de l’association.

Il ajoute que le montant de la subvention accordée au budget primitif (100 €) est très éloigné des espérances et des besoins de l’association. Aussi il redoute de devoir réduire le programme des animations en 2010, faute de moyens financiers.

Enfin, il espère que les habitants du quartier participeront au débat intercommunal ouvert par la Communauté de Communes des Olonnes sur une éventuelle fusion des 3 communes. Il propose une aide à la réflexion afin que chacun puisse se déterminer le moment venu sur les questions auxquelles il seront invités à répondre et au regard des conséquences sur le quartier d’un statu quo , d’un aménagement de l’intercommunalité ou de la fusion pure et simple.


Le président invite les participants à l’assemblée à exprimer leurs préoccupations :
  • sur le distributeur de billets de banque . le président rappelle les démarches entreprises auprès du Député qui a transmis le dossier au maire, lequel a répondu "qu’il était déjà intervenu auprès de plusieurs banques et que le problème majeur concerne le choix du lieu où l’implanter. A sa connaissance aucun commerce n’est intéressé par cette implantation". Cette réponse nous a incité à lancer la pétition dont les premiers signataires sont tous les commerçants ;

  • sur la voirie : rue du puits d’enfer l’état d’une clôture avec grillage en mauvais état est source de dangers aussi bien pour les piétons que les cyclistes dans plusieurs rues les trottoirs seraient en mauvais état - quel est le programme d’enfouissement des réseaux aériens (EDF Téléphone) ? les contrôles de vitesse sur l’avenue de Lattre de Tassigny sont insuffisants ;

  • sur l’urbanisme : quels sont les projets sur les parcelles donnant sur l’avenue Nina d’Asty , où des déboisements ont été observés ; d’autres seraient en projet ?

  • sur le chemin douanier : plusieurs intervenants s’étonnent du maintien de l’accès au rivage réputé dangereux au profit de quelques particuliers propriétaires en bordure du chemin interdit à la circulation des piétons .


Sur ce dernier point, le président rappelle les informations municipales publiées selon lesquelles « une décision de justice » aurait officialisé l’interdiction de circuler. Il observe cependant que cette explication demeure trop vague à défaut des références permettant de vérifier sa pertinence. Il pense qu’il ne peut s’agir que d’une décision de la juridiction administrative –Tribunal administratif de Nantes- dont il n’a pu trouver trace à défaut de références (date du jugement notamment) Il considère que la clarification de ce dispositif d’interdiction doit être recherchée auprès de l’autorité préfectorale et non pas municipale. Des membres de l’association se sont dévoués pour rechercher des informations fiables sur la qualification de cette interdiction . Elles seront aussitôt analysées et publiées.

Sur les autres points ( voirie et urbanisme) le président s’engage à demander des précisions lors d’une rencontre avec les responsables municipaux.


Mr Fesseau est intervenu pour exprimer sa satisfaction à propos de l’existence de l’association qui constitue un interlocuteur utile à la gestion municipale du quartier. Il a aussi rappelé les motifs de sécurité justifiant l’interdiction de la circulation sur le chemin douanier. Il a proposé une rencontre avec les représentants de l’association pour examiner les possibilités de mise à disposition d’un local dans les écoles de la Pironnière ainsi que les différentes questions soulevées au cours de cette assemblée.

Les rapports moral et financier sont soumis au vote des participants. A la question posée par le président, personne ne souhaite que le vote soit effectué à bulletin secret celui-ci est fait à main levée. Les rapports sont approuvés à l’unanimité avec une abstention et un refus de vote

Après appel de candidature, parmi les dix administrateurs en exercice les six administrateurs dont les noms suivent souhaitent continuer à siéger :


  • Alain DOURY – Place de la République
  • Pascal GRACIA – Rue des Sablais
  • Odile MARTINEAU-TESSIER - La Marcelière
  • Sophie METAIREAU - Orbestier
  • Jean-Paul POTIER – Les Fosses Rouges
  • Vincent ROCQUECAVE – Le Petit Paris

Il n’y a donc pas lieu à tirage au sort du 1/3 sortant.

Neuf candidatures nouvelles ont été enregistrée. Il s’agit de :
  • Marie-Claude ARNAUD la Métairie
  • Jean-Michel BOULINEAU Le Pré Etienne
  • Janine GARNIER la Métairie
  • Mickaël LAINE Les Grandes Prises
  • Jean PLISSON Place de la République
  • Patrick RUF rue Alain Colas
  • Marie-France TRUCHE allée de Bourgenay Michel TERRIER Villeneuve
  • Roger TESSIER la Métairie

Sur proposition du président, tous les candidats sont élus à l’unanimité.


En conséquence le nouveau conseil d’administration est ainsi composé des 15 membres ci dessus désignés

L’assemblée est clôturée à 20 heures
Signataires Pascal Gracia - Alain Doury - Janine Garnier